Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 10

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

<Fout tes fringues sans te doucher, on aime bien les salopes qui puent le sexe. Je t'ai laisser une nouvelle surprise dans ta boite aux lettres, tu le connecte à ton phone et tu m'envoie les codes de contrôles, t'as 3 minutes !>

-Putain le chien !

La gamine file dans sa chambre et raccroche sa jupe et son haut le corps sur sa peau couverte de sueur et de foutre. Elle descend les escaliers et découvre un jeu de boules de geisha silicone d'une couleur orange saumon et termine par une longue antenne flexible. Comme convenu, elle charge l'appli correspondante est la connexion au jouet vibrant est immédiate.

Elle récupère le code de contrôle et l'envoie en chat au corbeau. La vibration dans sa main est le signe que le maitre chanteur a le contrôle du jouet ; *PING*

<Maintenant fourre toi les boules dans la chatte, je crois qu'on t’attend !>

Élodie entend des pas lourds s'approcher, inquiète et excitée à la fois, surement à cause des relents sexuels qui se dégagent de son petit corps. Elle crache dans sa main et enduit les deux boules connectées avant de les insérer dans son minou déjà tout resserre.

-HUN ....

Le premier contact est déjà gratifiant de pleins de promesses, mais la gamine s'inquiète de l'arrivée du motard, que va-t-il lui arriver ce soir ?

La lourde porte d'entrée de l'immeuble s'ouvre sur le moustachu qui accueille la vision de la gamine aux joues empourprées de honte et d'excitation, avec un sourire enjoué :

-Eh ben dis-moi, tu as aussi hâte que moi de voir mon "nouveau jouet" ?

Élodie trouve bizarre l'insistance du prof sur "nouveau jouet", mais il doit surement être excité de recevoir sa moto !

-Allez viens vite ! Les potes m’attendent !

"Les potes ?" La gamine a l'habitude des sorties du week end, mais un lundi, ça l'étonne que plusieurs motards soient disponibles.

Le grand moustachu passe son bras autour des épaules de la gamine et ils sortent de l'immeuble. L'adolescente est quelque peu interdite, elle sent le foutre et le sexe ; "Il doit bien le sentir, non ?"

Mais le grand moustachu n'en laisse rien paraitre et semble très très enjoue de leur sortie a venir. Élodie sent soudain les boules rouler entre les muqueuses de son minou, elle doit contracter son périnée pour ne pas que les boules se fassent la malle a cause de la pesanteur.

C'est alors qu'un léger battement de vibrations résonne en elle : *BZZ BZZ* .... *BZZ BZZ* .... *BZZ BZZ* .... *BZZ BZZ* .... Son ventre se contracte sous le plaisir surprenant et soudain dans ses entrailles. Le moustachu la sent se tendre :

-Tout va bien ?

-*BZZ BZZ* .... *BZZ BZZ* .... HUN .... Oui .... oui .... ça .... *BZZ BZZ* .... *BZZ BZZ* .... va !

La gamine se redresse, luttant contre la petite vague de chaleur qui se propage en elle. Elle est soulagée lorsque les vibrations s'arrêtent juste avant de traverser la rue en direction de la grosse cylindrée, mais elle sent déjà quelques gouttes de mouille pointer à l'orée de sa chatte.

Son vagin devient un peu gluant et la jeune fille sent les boules glisser subtilement contre ses parois vaginale. Nouvelle contraction du périnée, elle parvient à retenir le petit chapelet vibrant. "OUF !" Lorsqu'elle s'équipe à nouveau pour chevaucher la monture d'acier, elle fait particulièrement attention de ne pas trop écarter les cuisses, afin d'éviter que son jouet ne se fasse la belle.

Le souffle frais de la fin de journée fait du bien à la jeune fille qui a laissé son blouson de cuir ouvert sur ses seins, dans l'espoir de diluer un peu les odeurs de sexe sur son corps. Elle fait attention de ne pas trop coller Mr. Pequeur pour ne pas l'inonder des fragrances du sperme qui la couvre.

Arrivés au garage, le préparateur les attend un large sourire aux lèvres, comme un gamin qui va déballer son cadeau.
La jeune fille met ce comportement sur la joie de livrer la belle mécanique a son client et ami. La main protégeant son intimité, Élodie sert à nouveau les fesses lorsqu'elle descend de monture, les boules massant son entrejambe, liées aux vibration de la moto, ont rendu ses sphincters très humides et particulièrement glissants.

Elle écarte les cuisses un fraction de secondes pour enjamber sa selle, mais ne peut retenir un petit gémissement lorsque les boules de geisha se mettent de nouveau à vibrer en elle. L'irrégularité des vibrations sont un véritable supplice de plaisir. Les jambes écartées la force à resserrer à nouveau le périnée si elle ne veut pas voir tomber le gadget d'entre ses jambes, ce qui décuple l'effet des vibrations contre ses sphincters bandes.

La gamine maque de défaillir lorsque vague de plaisir explose dans son ventre. Elle sert les dents et contient un nouveau gémissement. Élodie se raccroche aux épaules larges du moustachu, elle a les jambes en coton lorsque les vibrations s'arrêtent enfin :

-ça va Élodie ? S'inquiète le quadra.

-Oui oui c'est rien t’inquiète !

Ils se dirigent ensuite vers le volet roulant et la jeune fille fond lorsqu'elle aperçoit le regard du moustachu en découvrant son nouveau jouet. Il est redevenu un de 8ans déballant ses cadeaux de noël.

-Bon ben va falloir la déceler, mec !

Le préparateur sort l'engin à la lumière du jour, un hard tail magnifique a fourche de fatboy, son énorme double cylindre, sa peinture mat. Un détail inquiète cependant la petite brune ; c'est la double selle en cuir à l'ancienne.

L'assise du motard est un magnifique siège enveloppant monter sur ressorts, par contre le siège passager consiste en un simple assise étroite et rembourrée, vissée directement au garde boue. Mais elle ne veut pas gâcher le plaisir de son ami, et ne fait aucune remarque négative.

Lorsqu'elle passe ses doigts sur la belle mécanique, les boules se réveillent en elle :

-HUN .
...

Sa réaction est incontrôlable, elle crispe le ventre de plaisir, encore une nouvelle gamme de vibration intermittente. Elle a l'impression que sa chatte va exploser de plaisir ; "Merde ! Putain !"

Les jambes en coton sous le plaisir interdit, elle jette un œil inquiet autour d'elle. Heureusement les deux hommes sont trop occupés par la mécanique du bolide pour se rendre compte des réactions de la gamine a son jouet.

Les vibrations s'arrêtent enfin lorsque Mr. Pequeur propose un tour à l'adolescente. Les joues rosies par la vague de plaisir, la jeune fille opine du chapeau lorsqu'elle aperçoit un Kangoo chez l'épicier en face du garage. Elle connait le véhicule, c'est celui de Raphael. "Qu'est-ce qu'il branle ici ce con ?"

Ne voulant pas croiser celui qui l'a chauffée ce matin, elle presse le quadra à partir. Il s'installe au guidon et l'ado s'installe difficilement derrière lui. L'écart entre les deux sièges l'empêche de coller son bassin contre celui du motard, et l'absence de coffre derrière son cul, expose l'arrière de sa mini-jupe.

La gamine cale donc, comme elle le peut, le volant arrière de la mini sous ses fesses charnues, et bloque l'avant du vêtement de sa main gauche. Mais sa vulve exposée, habitée du jouet vibrant, est plaquée directement contre le rembourrage étroit en cuir entre ses cuisses.

*RAPATATA* L'engin rugit entre ses cuisses, le cadre rigide ne dispose pas de suspension arrière pour les encaisser. Élodie se cambre, la chatte encaissant directement les secousses du bi cylindre. Les doux boules dans son ventre se mettent elle aussi en mouvement, doublant ainsi la source de plaisir asynchrone, son clito expose aux vibrations extérieures et ses chairs vibrantes autour du chapelet de silicone.

Elle ferme les yeux, encaissant le double plaisir en se mordant la lèvre inferieure, et crispant sa main droite sur la cuisse du motard qui interprète le signal : "c'est bon on peut y aller" Il se met en mouvement, et Élodie pousse un petit cri mélanger de surprise et de plaisir lorsque l'engin démarre.


Les vibrations ne s'arrêtent pourtant pas en elle, et la gamine se penche en avant pour s'accrocher au motard et contenir son plaisir. Mais elle appuie son clito contre les vibrations mortelles de son siège. La situation est impossible, elle gémit doucement entre ses dents serrées, sentant les tétons de ses gros seins gonfler à travers la dentelle de son top.

Les saccades déclenchent des vagues de plaisir dans son ventre prêt à exploser. Sa chatte fond sous l'effet des doubles vibrations, et pour couronner le tout, le vent s'engouffrant sous la jupe menace le volant arrière de se faire la malle sous son petit cul muscle.

Les vagues de chaleur empêche la gamine de s'occuper de sa mini, heureusement, les vibrations en elle s'arrêtent enfin, donnant un peu de répit a la gamine qui ajuste le tissu léger sous elle.

C'est ce moment que choisit le quadra pour sortir de l'autoroute pour se garer au sud du parc de la Courneuve. Il arrête l'engin en face d'un petit troquet qu'il connait bien et où ils sont déjà venus à plusieurs reprises. L'établissement, tenu par un de ses anciens élèves est devenu un refuge pour biker.

-Je vérifie vite fait ! Lui crie-t ‘il par-dessus son épaule.

La gamine, a les jambes qui tremblent encore, sous l'effet des vibrations. Elle lui répond, les yeux brillants derrière les verre de ses lunettes :

-HUN .... Ok Ok !

Elle a encore du mal à reprendre ses esprits après la double dose de vibrations. Élodie pose un pied au sol, les jambes en coton, et la chatte dégoulinant entre ses cuisses. Elle sort un mouchoir de son petit sac à dos, et essuie subtilement l'assise en cuir et les coulures sur ses cuisses, pendant que le moustachu fait le tour du monstre.

-Serge .... Le cri sort la gamine de sa torpeur, c'est Ammar qui a reconnu son ancien prof et qui les rejoint .... et .... Le jeune barman la dévisage des pieds aux seins, pas sur de la reconnaitre.

-Élodie, bonjour ! Elle lui tend une main tremblante.

"Est-ce qu'il m'a calculée ?" Le prof de SVT lui fait l'article de sa nouvelle bécane, et le jeune homme les invite à boire un coup. Ils s'apprêtent à traverser quand soudain :

-HUN .... Oooh ....

Élodie se fige décontenancée par de nouvelles vibrations en elle. "Non putain ! Pas maintenant !" Exposée, dans la rue, loin de chez elle, la gamine est en train d'avoir un nouvelle orgasme devant les deux amis qui la dévisage :

-Eh ben cocotte ? Ça va ? S'inquiète Mr. Pequeur.

Les jambes flageolantes Élodie essaye de garder sa tenue, elle refreine une nouvelle explosion de plaisir en rassurant les deux hommes. Les vibrations s'arrêtent quand ils entrent dans l'établissement déjà plein en ce début de soirée. Tous les regards se tournent sur la gamine en mini-jupe et haut de dentelle qui fait son apparition.

Le prof désigne un tabouret de bar à la gamine qui s'installe a ses cotes. Il lui commande une bière que la jeune mineure siffle d'un trait pour calmer ses ardeurs. *PING* son téléphone sonne un nouveau message snap :

<2minutes les chiottes des hommes ou j'active à fond !>

"Mais non ! C'est pas possible !" La gamine regarde autour d'elle, comment son maitre chanteur peut-il savoir où elle est ? Élodie revoit le Kangoo en face du garage ; "Est-ce que ?" Mais elle chasse l'idée de son esprit, "Non, pas lui !"

Mais pas le temps de tergiverser, elle s'excuse et se dirige vers les chiottes du troquet. La gamine scrute autour d'elle et au dernier moment, elle bifurque vers les toilettes homme. "Ouf" La pièce aux relents d'urine est vide, elle fonce dans la cabine qu'elle verrouille derrière elle. Abri dérisoire, les trois planches et la porte maintenue par une armature métallique ont une garde au sol d'au moins 20cm et le haut des parois plafonne tout juste à 1m90.

*PING*

<Je vais démarrer les vibrations, tu dois te branler la chatte avec les boules et te doigter le cul pendant 10minutes, amuse toi bien sale chienne>

Les vibrations démarrent, lui arrachant un petit gémissement lorsqu'elle entend deux hommes entrer dans les chiottes. Elle plaque une main sur sa bouche pour le petit cri, mais les deux hommes stoppent net leur conversation.

*BZZZ* *BZZZ BZZZ* *BZZZ* *BZZZ BZZZ* *BZZZ* *BZZZ BZZZ*

La cadence des vibrations est insupportable, la jeune fille se mord la lèvre pour contenir ses gémissements, alors qu'elle fait glisser le chapelets entre les chairs gonflées et humides de sa chatte, et qu'elle s'astique la pastille, deux doigts fiches dans le cul.

Il y a quelque chose en elle qui lui hurle de se barrer de cet établissement, mais l'interdit de se branler dans ces chiottes, en présence de deux inconnus derrière le maigre panneau de 6mm d'épaisseur, la cloue sur place. Elle les entend bouger tout prêt d'elle, elle sent leurs mouvements alors qu'ils essayent d'identifier la source des vibrations qui emplissent la pièce d'un petit son diffus et répétitif.

-hun .... hun ....

Elle essaye de toutes ses forces de ne pas succomber à la jouissance naissante au creux de son ventre, mais les vas et viens du jouet vibrant dans sa chatte détrempée, et le copieux doigtage dont elle se gratifie la pastille, si proche de ces deux inconnus, l'excitent encore plus.

Sa raison voudrait que tout s'arrête dans l'instant, mais ses pulsions la poussent a continuer toujours plus loin, elle veut lui faire tester ses limites dans la débauche vers laquelle la gamine glisse irrémédiablement.

Un mouvement derrière la porte, la gamine ne contrôle plus son corps, elle ferme les yeux pour contenir la jouissance sur le point d'exploser en elle. Les mouvements de l'autre cote de la paroi se déplacent autour d'elle et soudain elle entend toquer de caque cote d’elle : Tiens petite !

Elle ouvre les yeux, interdite, deux bites mollassonne sont apparues à travers des trous qu'elle n'avait pas remarqués. Les yeux pétillants de désir, la gamine plante le jouet au fond de sa chatte et le laisse lui procurer un plaisir continu pendant qu'elle agrippe les deux morceaux de chair gonfles.

Elle se penche timidement sur la droite et aspire la première queue tout en attrapant la deuxième entre les doigts fins de sa main gauche. Les deux bites prennent vie simultanément, la gamine salive abondamment sur celle qui gonfle entre ses lèvres, pendant qu'elle astique doucement le deuxième sexe.

Elle libère la queue luisante de bave et la fait glisser doucement dans sa main fermée puis elle aspire goulument la deuxième bite aux forts relents de pisse et de foutre rance. Elle se sent sale en trainée suceuse de bite dans ces chiottes de bar a motards, mais ça l'excite. Elle aspire et branle les deux bites puis s'occupe de son minou en chaleur de sa main libre.

Le mec dans sa bouche s'active contre le panneau et elle sent son gland gonfler conter son palais. Il explose entre ses lèvres, et elle avale le foutre gluant, l'aspirant avec gourmandise jusqu'à la dernière goutte. La petite libère la bite toute molle et embouche l'autre sexe tendu tout en se branlant activement avec son jouet vibrant.

Élodie aspire le gland de l'inconnu, crache sur la tête violacée du sexe bande et l'astique avec vigueur entre ses doigts avant de le replonger au fond de sa gorge.

-Oh putain, espèce de p'tite salope, tu suce comme une chienne !

Les insultes de l'inconnu sont un véritable aphrodisiaque pour la gamine qui l'aspire et le branle avec encore plus de ferveur. La grosse bite gonfle encore entre ses lèvres, elle sent déjà le liquide séminal glisser sur sa langue. Elle l'aspire jusqu'a la garde et léchouille les boules velues du bout de sa langue frétillante. Le mec râle et se vide instantanément au fond de la gorge de la gamine, qui a un peu de mal à avaler le flots de sperme bouillant.

La gamine caresse ses lèvres vaginales toutes luisantes de mouille, pendant que le morceau de viande dégonflé entre ses lèvres. Le mec se retire et une bite de black prend sa place.

Comme Romu, le gars a l'air bien large, déjà au repos. Élodie sent l'excitation renaitre en elle à l'idée qu'elle pourrait très bien se rabaisser à sucer le grand congolais dans les chiottes miteuses. Elle s'active alors sur sa chatte et son petit trou en aspirant la grosse bite qui gonfle et grandit entre ses lèvres.

L'adolescente suce le renoir anonyme, elle lui pompe le gland avec volupté et gourmandise tout en se doigtant adroitement le cul. Le bruit humide des boules de geisha qui vont et viennent dans sa chatte l'excite, elle sent déjà les premiers signes de chaleur gonfler dans son ventre tendu vers le plaisir.

-Pompe moi bien la queue p'tite chienne !

-HUN .... Elle gémit, la jouissance monte à nouveau en elle, elle sent déjà la bite du renoi frétiller contre son palais.

Elle accélère son doigtage, elle est sur le point de jouir du cul et de la chatte, mais le black, qui a d'autres plans, le retire soudain :

-Ouvre la porte sale chienne, que j'te ken comme une pute !

Elle pourrait tout arrêter la, à cet instant, ces 10 minutes sont largement passées, mais il y a quelque chose d'excitant et de bassement animal dont vient de la gratifier l’inconnu : elle veut se faire baiser comme une pute !

Timidement, les yeux brillants de désir, la gamine déverrouille la porte précaire et accueille son amant, un gros black d'une quarantaine d'années, la barbe hirsute de petite pelotes de poils frises.

Il s'avance dominateur, prédateur, la base de la bite serrée dans l'étau de son poing ferme, de grosses veines saillantes pulsant sous la peau épaisse de sa bite. Il att la gamine accroupie sur ses stilettos par les cheveux. Elle a encore les doigts plantes dans le cul et a s'astiquer la chatte, quand il pante sa bite épaisse au fond de la gorge ouverte de la petite brune.

Élodie abandonne son petit trou pour pincer et tirer son téton tout en s'astiquant la chatte de son jouet vibrant, elle encaisse la gorge profonde violente comme une pro.

-Tu l'aimes hein ? Ma grosse bite de renoi, sale chienne !

*CLAC* *CLAC* Il lui claque violemment les seins gonfles sous la dentelle blanches. Puis il l'att par les couettes et lui baise violemment la gorge :

*GWAH* *GWAH* *GWAH* Les gargouillis de sa gorge font écho aux vibrations incessantes qui excitent sa chatte.

Le gros renoi se retire, un long filet de bave l'ancrant aux lèvres charnues de la gamine.

-Allez montre ton cul de chienne, que j'te défonce comme une pute !

Il la retourne brusquement, et la plaque contre le mur des chiottes, il soulève le frêle tissu de sa mini et lui claque le cul de la main droite, alors qu'il tire violemment les couettes de la gamine vers lui, pour la cambrer au maximum.

Élodie, les mains plaquées au mir, le cul tendu vers son prédateur, sent la jouissance pousser immuablement en elle, le vibro plaque contre ses parois vaginales. Il lui claque les fesses violemment :

*CLAC* *CLAC*

Puis il écarte un lobe fessier tirant au maximum sur la peau fine de la croupe tendue, et se plante d'un coup jusqu'a la garde, et sans s'arrêter lime le cul de la gamine avec ardeur :

-HAN .... HAN .... Oui vas-y putain .... HAN .... HAN ... encule moi comme une pute !

Le plaisir n'a jamais été aussi intense, elle n'est plus que l'objet du délire sexuel d'un inconnu. Elle est sa chose, son trou, son seau à sperme ! Elle jouit intensément sous les claquements du gros bide poilu contre son petit cul muscle.

Elle gueule de plaisir lorsqu'elle sent son gland grossir dans ses boyaux, il crache une première fois, arrachant une longue plainte de plaisir jouissif a la gamine, puis il la retourne et plante sa bite odorante entre les lèvres de la gamine pour finir de se vider sur la langue frétillante de plaisir.

Élodie se branle avec vigueur pour faire durer son plaisir, et elle déglutit la trois grosses doses de foutre avant que son amant ne se retire sans un mot, mis a part le *ZIP* de sa braguette.

L'adolescente à moitié consciente laisse le plaisir quitter doucement son corps avant de réaliser qu'elle est accroupie, les cuisses ouvertes et la chatte béante, dans les chiottes des hommes.

Elle se redresse, le cul défoncé par la sodomie violente et jouissive du gros black, et le gout de sperme en bouche.

La jeune fille tiens difficilement debout. Elle réalise, avec horreur, qu'elle a laissé un parfait inconnu l'enculer comme une chienne et la traiter comme la dernière des putes, et elle a aimé ça ! Quand ce n'était qu'un jeu avec ses potes, ou même encore avec Romuald, ça allait, mais là ! "Faut que j'me ressaisisse putain ! Je peux pas laisser ce tare disposer de mon cul et de mon sexe de la sorte !"

Élodie est perdue dans ces toilettes puantes, elle voudrait ne jamais avoir laisser ce tare prendre le contrôle de sa vie de la sorte. L'exhibition, les jeux sexuels en public, mais que peut-elle faire ? Si elle ne lui obéit pas il pourrait dévoiler à sa mère tout un aspect de sa vie, que la pauvre femme n'a pas besoin de connaitre.

"Et si ? ...." Une pensée lui traverse l'esprit, et si ce connard "Ou cette connasse" ne faisait que bluffer ? L'adolescente sent sa raison reprendre le dessus sur ses instincts. Elle décide de défier le maitre chanteur, la sodomie dans ce lieu anonyme lui a fait prendre conscience qu'elle allait se battre pour retrouver un peu de dignité ! Il ne manquerait plus qu'il me fasse sauter par l'autre naze de Raphael !

Dans un bruit humide de chairs dégoulinantes, la gamine retire le chapelet vibrant et couvert de sa mouille. Le lustre de l'objet, et les odeurs encore présentes des hormones sexuelles l'entourant, Élodie n'a qu'une idée en tête, nettoyer les boules et se délecter de ses jus. Elle se met une gifle mentale, et c'est la boule au ventre, qu'elle nettoie le jouet vibrant avant de le ranger dans son sac à dos.

"Mais qu'est-ce que .... ?" En ouvrant son mini sac à dos pour y ranger l'objet de sa perversion, elle découvre un gode ventouse de taille beaucoup modeste que son monstre a la maison. L'objet tout aussi bien dessine, avec les grosses boule striée a la base, les belles veines saillantes courant sur la longueur terminée par un gland exagérément gonfle, l'hypnotise quelques instants.

Réveille-toi ma fille !" Qui a bien pu mettre cet objet dans son sac ? Elle se rend compte qu'a force d'avoir les parents a la maison, elle n'a pas le réflexe de fermer à clé derrière elle. C'est ainsi que depuis deux jours, elle laisse l'appart ouvert et sans surveillance, et donc que n'importe qui peut avoir eu accès a son intimité !

*PLIP* .... Un nouveau message.

L'adolescente a le cœur qui palpite, elle essaye de forcer son esprit à lutter contre son corbeau, mais surtout contre ses propres pulsions. Partagée entre curiosité et soumission, elle ouvre, fébrile, le snap :

<Eh ben il te faut tant de temps que ça pour te remettre de quelques bites ? Sors tout de suite de la et va draguer à la table de billard, je voudrais te voir allumer des mecs !>

"Et pis quoi encore ? Connard, tu vas voir si j'suis ta tepu !" Bien décidée à lui tenir tête, la gamine sort avec précaution des toilettes pour homme, et plutôt que d'obéir aveuglement se décide à rejoindre le grand motard toujours accoude au bar.

Elle s'assoit à côté du moustachu et sans un mot, sirote une autre bière pour essayer de dissiper les odeurs de foutre de son haleine.

-Aaaah la jeunesse ! C'était bien au moins ? L'interrompt-il dans ses pensées, sans en rajouter.

"Bon ben il a compris on dirait !" Se dit la gamine, un peu surprise qu'il ne profite pas de la situation.

-Bon allez poulette, c'est pas tout ça, mais on va pas rester ici toute la soirée, qu'est-ce que t'en dit ?

*CLAC* Il la tire de ses réflexions en lui claquant la cuisse :

-Qu'est-ce que t'en dis, on décolle ? .... et sans attendre sa réponse, il ajoute .... J'vais juste aller pisser. Il se retire, non sans lui adresser un clin d'œil complice.

Seule, Élodie tente de remettre ses idées en forme, vu que n'importe qui connaissant ses habitudes peut avoir eu accès a ses affaires dans l'appart non verrouille, la liste des suspects peut se réduire rapidement. Si en plus elle croise les évènements et les personnes, un candidat semble se détacher du lot : "Et si c'était l'autre grand con ?"

A bien y réfléchir : "Il aurait très bien pu glisser les boules de geisha dans la boite aux lettre ce matin en allant chercher la palette" Un peu parano, elle se remémore le Kangoo en face de la concession un peu plus tôt.

*PLIP* Elle reçoit un snap, c'est une photo cette fois, prise de l'extérieur. "Mais c'est moi putain !" Le cliche la montre en effet assise dans son ensemble blanc/transparent et noir, les stiletto lui allongeant le galbe de la jambe.

<Alors p'tite pute comme ça tu crois que tu vas pas m’obéir ?>

Une nouvelle photo apparait sur son écran, c'est un screen d'un autre phone sur lequel apparait l'adolescente en train de sucer une bite dans sa chambre, elle reconnait bien les peluches de son lit. Surligne en rouge, Élodie reconnait le numéro de téléphone .... "Maman ?"

Le maitre chanteur ne déconnait pas, il a bien les coordonnées de ses proches, et possède des cliches compromettants qu'il peut diffuser à qui il le souhaite. Une larme menace de coller sur la joue dodue de la jeune fille, qui résiste à l'envie de sortir confronter son corbeau. Élodie est obsédée par le pouce gante prêt à appuyer sur "Send" qu'elle fixe sur la photo.

Elle att son phone, et, les mains tremblantes, elle essaye de taper une réponse :

<Si si j'allais obéir, mais tu te rends pas compte>

<j'en ai rien à foutre de tes états d’âmes ! tu vas draguer les mecs du billard ou je te fais jouir devant tout le monde !>

"Essaye un peu connard !" Mais la pensée rebelle a tout juste le temps de se former dans son esprit qu'elle réalise la conséquence de son geste ! Elle n'a plus les boules dans la chatte !

Comme elle a éteint le toy dans son, elle n'a aucun moyen de simuler son "plaisir" s'il se décide à déclencher le jouet. Acculée, la gamine joue un nouveau coup de bluff, qu'elle espère plus concluant que le premier.

<Pitie je f'rai ske tu veux ! Mais démarre pas les boules !>

Le chat est inactif pendant de longues secondes interminables. Puis les "..." s'affichent, signe que le corbeau lui répond enfin :

<t'as retiré tes boules espèce de salope! tu vas m'le payer p'tite pute!> (...)

Le maitre chanteur a compris que les boules n'étaient plus dans le minou de la gamine. "Il a dû les mettre à fond, et ma crame devant mon manque de réaction ! Mais quelle conne, putain !" Élodie panique sur son tabouret, son cœur accélère dans sa poitrine, la sueur se mélange au sperme de sa poitrine, les odeurs de foutre ressorte de son torse souille. "Qu'est-ce qu'il va faire ?"

Elle observe discrètement autour d'elle, un gros alcoolique assis à sa droite, à l'autre extrémité du bar, deux routiers en chemise de flanelle discutent assis à la table derrière elle, trois motards en jeans et cuir en train de jouer au billard dans un coin sombre illumine d'un néon rouge, et Mr. Pequeur qui ne revient toujours pas !

Le téléphone vibre entre les mains de l’adolescente :

<je sais pas ce qui me retient de tout balancer à ta mère, qu'elle voit qu'elle espèce de trainée tu es! donne-moi une bonne raison de pas lui envoyer une photo de sa chère fille>

Désespérée elle finit par abdiquer, elle tape en tremblant sur l'écran de son smartphone :

<Pitie, non ! Je t'en supplie, je ferai tout ce que tu veux ! J'obéirai a tous tes ordres, mais pitié n'envoie pas la photo !>

<tout ce que j'veux ?>

<Oui ! Promis ! Dis-moi ce que tu veux, je le fais, j'te jure !>

Pendant de longues secondes, la jeune fille observe les "..." apparaitre et disparaitre de l'écran, jusqu'à ce qu'elle voie "enfin" le message un peu plus long que les autres. Élodie écarquille les yeux en lisant les nouvelles instructions de son maitre chanteur.

Son cœur saute et tape dans sa poitrine, elle doit encore sacrifier sa dignité afin d'échapper à l'humiliation que sa mère ne découvre sa nature de petite chienne perverse. "10 minutes ? 10 minutes !" La gamine reste interdite lorsqu'elle aperçoit Mr. Pequeur sortir des toilettes.

-Bon alors ? On décolle ?

L'adolescente, supplie presque le moustachu du regard lorsqu'elle lui demande :

-Est-ce que vous pouvez m'attendre dehors ? Juste une dizaine de minutes ? Y a un truc que je dois absolument faire, et après promis, on s’arrache !

Une larme menaçant de couler au coin de l'œil, elle l'implore presque. Le grand moustachu au cœur d'artichaut ne sais pas trop ce qui se trame, mais il accepte dans un sourire de compassion :

-OK, mais dans 10min je mets les bouts !

"Putain, putain mais c'est pas possible !" Et la gamine le regarde quitter la salle du bar et tournant son attention vers la table du centre ou se trouve les deux gros, un chauve et le renoi barbu des chiottes, elle remarque à peine les trois jeunes quittant la table de billard. Elle ne les aurait même pas remarques si l'un d'entre eux ne lui avait pas mis la main au cul.

-Eh mais dégage, salop !

Ils dégagent du bar en rigolant comme des ânes, laissant Élodie seule avec les deux inconnus, le pochetron et le barman. La jeune fille prend une profonde inspiration avant de se lancer, le cœur lourd dans la poitrine.

D'un pas suave, elle approche de la table, un peu hésitante, et morte de trouille. Dépassant sa terreur, elle glisse une main sur l'épaule dénudée du gros black dans son marcel, son short et ses claquettes en cuir, puis promené ses doigts malins sur le torse velu du chauve torse nu, short et claquette chaussettes "Putain les ringards !"

-Bonsoir messieurs ! S'entend-elle leur dire, surprise par son propre ton sensuel. Est-ce que ça vous dit de "jouer avec moi" au billard ?

Le chauve, au regard froid de tueur ne semble pas intéresse, jusqu'à ce que son pote n’interjecte :

-ça dépend, qu'est-ce que tu proposes ? Sachant ce dont la petite est capable.

Le message resonnant encore dans son esprit <Tu dois les inciter à te planter les deux jouets dans tes petits trous de salope et te branler devant eux pendant dix minutes> elle ouvre son sac à dos "hello kitty" de petite fille bien sage et en sort les double boules et la bite en latex.

-J'ai mes propres règles, il faudrait m'aider à utiliser ma "queue" pour mettre les "boules" dans mes petits "trous". En insistant intentionnellement sur les trois termes du "jeu".

Elle les regarde, gourmande, féline avant de s'entendre ajouter :

-Si vous connaissez un coin tranquille je peux vous "expliquer" les règles !

"C'est pas vrai putain ! Je viens pas de dire ça ?" Mais le défi est lance, et le renoi ne manque pas l'occasion de remettre le couvert avec la petite perverse qui les dépassent tout juste alors qu'ils sont assis :

-Crois moi vieux, elle a ce qui faut pour nous deux !

Bien décidée à garder le contrôle cette fois, la gamine les suit dans une petite impasse sombre derrière le bar. Elle joue le jeu, au cas où, et conserve une attitude de véritable allumeuse, la bite factice en main, le chapelet de boules dans l'autre, en les suivant d'un air faussement innocent.

Elle repère un coin encore plus sombre au fond de l'impasse, mais le chauve ne l'entend pas de la sorte, et la guide devant une grosse poubelle éclairée par le seul lampadaire de la ruelle. Pas de taille à refuser cette concession, la gamine commence à promener le gland de la fausse bite le long de ses lèvres violettes de maquillage mat.

C'est d'un air coquin, qu'elle s'accroupit en écartant les cuisse et se force à les regarder dans les yeux :

-Si seulement je savais quoi faire de cette grosse queue ! Lâche-t' elle en glissant les doigts le long de ses cuisses dénudées et ouverte sur sa vulve duveteuse.

Discrètement, elle allume les boules vibrantes, le léger *BZZT* confirmant la connexion du jouet a son téléphone. Elle glisse une boule le long de sa fente et lèche le bout du gland en ajoutant :

-Il faudrait peut-être préparer les trous de la "table de billard" pour commencer non ? La fin du message hantant encore ses esprits : <Ils doivent te fourrer les boules dans le cul sinon je balance tout à tes vieux !>

Le renoi est déjà en train de branler sa grosse saucisse dépassant de l'entrebâillement de la jambe du short. Le chauve passe la main gauche dans les cheveux de la gamine, détachant ses nattes de gamine, puis il glisse sa paluche libre le long du dos dénudé pour lui attr une fesse a pleine main.

Décidée à garder le contrôle, l'adolescente ondule du bassin pour se soustraire au molosse mais elle ne peut éviter la fessée qui gifle sa fesse gauche. *CLAC* Le coup la grise instantanément, projetant des vagues de douleurs étrangement mêlées d'un plaisir malsain.

-Eeeeeh ! Doucement avec la "table" ! Lui lance-t ‘elle en un sourire vicieux, aussi incontrôlable qu'instinctif.

-Tu vois ? Je t'avais dit, une vraie salope ! Lui retorque le renoi.

Et le chauve lui soulève la croupe en glissant une main brutal sous le cul nu de la gamine, pour la redresser. Il maintient la tête de la gamine vers le bas, en la tenant fermement pas les cheveux, et *CLACL* une nouvelle fessée cinglante.

-OUF, doucement mon grand !

*CLAC*

-Ta gueule p'tite salope, et bouge ton cul ! *CLAC* Allez !

Les vagues de douleurs mêlées à une chaleur grondante se rependent déjà dans le ventre de la petite vicieuse. Mais sa raison est encore aux commandes, elle ne va pas se laisser aller cette fois, elle se branle 10 minutes et se casse rejoindre le motard.

Élodie parvient à reprendre un peu son calme et à calmer les pulsions qui la gagnent :

-Alors grosse brute ? Tu veux bien lubrifier mes boules, et les coller dans mon p'tit trou d’salope ? Et elle se surprend à glisser les deux boules solidaires le long de sa fente encore fermée.

Le gros chauve les att a pleine main et les plaque dans la longueur de la fente de la petite chienne, lui écarte les lèvres vaginales et y fait glisser les sphères de latex. Les bruits humides de mouille ne tardent pas à emplir la ruelle déserte, accompagnes de petits gémissements que la petite tente d' en mordant la fausse bite.

-Continue mec, je crois qu'elle aime ça c'te salope.

*BZZZZZZ* Les boules vibrantes s'activent en continue :

-HUUUUUUUN .... Élodie ne peut retenir une longue plainte de plaisir lui échapper des lèvres.

*HUMPH* Le black att la "queue de billard" flexible et la pousse d'une traite au fond de la bouche ouverte de la gamine, surprise par l'explosion de plaisir procurer par les boules plaquées sur sa chatte ouverte et son clito gonfle.

"Oh putain la vache ! Qu'est-ce que c'est bon !" La petite brune, se laisse presque submerger par la vague de plaisir qui explose dans son ventre. *CLAC* Le chauve a lâché les anglaises de la petite brune a lunettes pour lui claquer le cul en lui branlant la chatte avec le chapelet vibrant.

*CLAC* .... HUMPH .... *CLAC* .... HUMPH .... Élodie se cambre de plaisir et ses gémissements étouffés font échos aux coups de fessées du gros chauve :

-Putain ! La petite chienne, t'avais raison mec !

Le gros black barbu fait maintenant coulisser la bite factice entre les jeunes lèvres charnues, tapant la luette violemment, les gargouillis de la gorge se mêlant au bruit de mouille de la chatte détrempée par le jouet vibrant.

Élodie se perd dans l'explosion grondante et toute proche au fond de son ventre et au creux de son sexe béant et dégoulinant sous la caresse vibrante des boules de geisha. Elle se cambre, son bassin oscille de lui-même, sans contrôle, allant au maximum au contact de cet objet de plaisir. La fausse bite accélère au fond de sa bouche juvénile, les deux hommes savent y faire.

Elle qui voulait garder le contrôle se perd dans les vagues de plaisir qui la submerge. Soudain, la gamine convulse de plaisir, et sa mouille explose dans la main du gros chauve, et elle plante sa gorge sur la bite en plastique.

Les deux hommes se retirent, croisant leurs regards satisfaits d'être tombés sur la petite nympho aux airs de gamine innocente. Ils déballent leur bite dans l'entrebâillement de l'élastique de leur short et attendent patiemment à tout juste un pas de l'adolescente. Élodie, interdite, encore secouée par la jouissance qui vient d'exploser dans son ventre, les regarde les yeux mi-clos et noyés de plaisir inavoué.

Ses yeux pétillants de désir a peine contenu, fixent les deux morceaux de bidoche a moitie gonfles et aux grosses veines saillantes. Les deux bites oscillent comme des gros serpents en transe. "Dix minutes .... Se branler .... Juste se branler !" Elle ouvre la bouche, en sort la bite maculée de bave et la glisse entre ses seins pointant vulgairement leurs tétons durcit par l'excitation, et dardant à travers la fine dentelle transparente.

Accroupie, les cuisses largement écartées en face des deux beauf, elle plante d'elle-même les boules vibrantes dans sa pastille, sans plus aucune volonté, uniquement guidée par son plaisir charnel. Elle soupire :

-10 .... Minutes .... Huuuuuuuun

Elle fait coulisser la bite factice entre ses lèvres vaginales, ouvertes et dégoulinantes de mouille.

*BZZZZZZ* Les boules vibrent entre ses doigts alors qu'elle s'astiquent la pastille avec le chapelet.

Perdue dans son plaisir, elle se penche en avant et aspire le gland au gout acre de pisse et de vieux foutre séché du gros chauve :

-Oooooh la saloooope ! Putain qu'est-ce qu'elle suce bien !

-Eh ma belle m'oublie pas ! Interjecte le gros black, la bifflant de sa bite bien veineuse.

Élodie aspire, suce, tète les deux bites une à une, en branlant ses deux petits trous avec les jouets "offerts" par le corbeau. *CLAC* *CLAC* ses deux bourreaux claquent violemment ses gros seins qu'ils ont pris soin d'extraire de leur fine protection de dentelle. Il lui étirent les tétons durcit de plaisir, les roulent entre leur doigts rugueux.

Le chauve se penche en avant et att le gode qu'il branle violemment dans la petite chatte ouverte pendant que son pote se plante en gorge profonde dans la bouche juvénile. Lorsque la gamine se cambre, à nouveau gagnée par des vagues de plaisir intense, le renoi pince violemment un téton tendu et le tort, en s'enfonçant à fond dans la gorge déployée de la gamine qui hurle un cri étouffé par la grosse bite dans son œsophage.

Elle convulse à nouveau d'une nouvelle explosion de plaisir mêlé de douleur stridente. Sa chauve explose pour la deuxième fois dans la main du chauve. C'est ainsi que les dernières onces de volonté consciente de la gamine s'évanouissent. Elle a l'impression de flotter en dehors de son corps. Les vagues de plaisir inonde son cerveau d'hormones et elle se perd dans sa jouissance.

Les deux hommes se redressent et le gros black soulève la gamine devant lui, et plaque le coton du marcel couvrant son gros bide contre les reins dénudés de la gamine. Il att sa grosse saucisse entre les cuisses grandes ouverte de la fillette, maintenue en l'air par son acolyte, et il plaque son gland contre la pastille de la gamine.

Son pote tire sur l'antenne du jouet vibrant, et le black plante sa grosse bite au fond du cul ouvert d'Élodie, qui se cambre de plaisir contre le torse hirsute de poil boucles et couvert de sueur. Une fois encre au fond du petit cul se contractant de spasmes autour de sa bite tendue, il passe ses grosses paluches sous les cuisses de la gamine et les maintient ouverte pour son pote.

Le chauve au regard pervers colle son gland trapu entre les lèvres de la petite, il retire le sexe factice et se plante en elle d’un énorme coup de reins.

-Oh ouiii .... Han .... Putaiiiinnnn

La gamine se cabre, les trous possédés par les deux bites bien gonflées. Le chauve s'agrippe au seins tendus de la gamine et commence à lui limer la chatte à grands coups de queue, compressant et malaxant ses gros seins tendus. Il l'empale quelques minutes et se plaque au fond de la chatte béante, au bord de l'explosion.

Il bascule légèrement en arrière et l'attire contre son bide nu couvert de sueur. Le gamine sent les odeurs de male se dégager des poils trempes contre son petit nez retrousse. *CLAC* Les deux grosses paluches du black s'écrasent de concert sur ses fesses tendues, il les écarte, les malaxe, et les resserrent pour bien comprimer sa grosse saucisse. Il s'active alors entre les fesses de l'adolescente se délectant des boyaux serres autour de son pieu.

Élodie manque de défaillir tant le contraste entre le retrait long et lent de la grosse et la soudaine propulsion au fond de son cul est importante. Le renoi se lance alors dans une sodomie puissante et brutale. Son gros bide claque violemment sur les fesses rembourrées de la gamine à chaque nouveau coup de queue puissant. Lui aussi au bord de l'explosion, il s'encre profondément en elle.

La gamine se voit interdire une nouvelle explosion de jouissance, lorsque le chauve lui tire violemment les cheveux en arrière, forçant sa poitrine à se tendre vers lui. *CLAC* *CLAC* Il assène les seins rougissant de nouvelles claques, avant de refermer violemment sa grosse paluche sur le seins gauche de l'adolescente les cheveux tires en arrière. Il s'agite à nouveau dans la chatte de la gamine puis laisse la main à son pote dans le petit cul serre et déjà rougit par la violence sournoise de douleur et de jouissance de la sodomie.

Les deux hommes alternent pendant de longues minutes, privant à chaque fois la petite de sa jouissance. Finalement, n'y tenant plus, les deux hommes la sautent ensemble tout deux sur le point d'exploser. Il se retirent simultanément et laisse la gamine choir et s'accroupir entre eux. Élodie est aux abois, ils lui ont refusé sa jouissance pendant trop longtemps.

Elle se saisit de la grosse bite factice et se la plante dans la chatte. L'adolescente se masturbe le clito, et s'astique la chatte frénétiquement, elle halète de plaisir, et ses petits cris entrecoupes de bruit de mouille excitent les deux hommes qui se branlent devant la bouche ouverte de la petite gourmande.

Elle gémit, ses cris se font plus précis, plus aigus, elle est sur le point de jouir comme jamais, seule, exposée à ces deux inconnu. Elle n'est plus qu'une chatte béante de plaisir. Les deux inconnus anonymes s'astiquent le manche au-dessus de la bouche juvénile et gourmande et éclatent simultanément tapissant le doux visage poupons de trainées blanchâtres et gluantes alors que la gamine explose de jouissance, sa chatte rependant des éclaboussures de mouilles sur le sol a ses pieds.

La gamine s'écroule, terrassée par sa jouissance, aspirant goulument les deux glands couverts de ses jus et de spermes odorants et gouteux. Les deux hommes récupèrent les trainées de sperme sur le doux visages contorsionné de plaisir, et lui font lécher leurs doigts à tour de rôle. Il se reculent, et se réenfroquent en riant comme des ânes devant la gamine qui se remet difficilement des vagues de plaisir qui viennent de la terrasser.

A moitié consciente la gamine sent alors les bras puissants d'un inconnu autour d'elle. Un léger parfum qu'elle connait se mêle aux odeurs de sexe et de foutre dont elle est couverte, puis c'est la douceur d'un plaid dont on l'entoure avec douceur contre sa peau à nu, et elle perd conscience, heureuse, satisfaite, repue, souriante, et toute trace de honte évanouie. Elle a pris un pied d'enfer.

-Merci !

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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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